© Guido Pagliarino
Traductions en français de quelqu'une de mes poésies
... ET ENCORE ON REVIENT... (Poésie par Guido Pagliarino - Traduction par Marie Christine Fournier)
... et encore on revient à la pleine mer tournés à contempler le soleil et son empreinte, l'espérance élancée sur la gelée nappe d'eaux en tremblotants et épais
points clairs; mais, les yeux détournés de l'étoile levante dans la chasse des prochaines vagues... papiers paperasse huile pierreuse... Ah, les regards insensés,
l'ensemble adverse à ses parties! On entend venir un chant en bas le long des rivages d'inconnu auteur et se livre à l'étreinte
de la lumière de fond, désormais diffuse à l'horizon. Une multiforme guenille l'eau clapotte comme une méduse. |
SACRAMENTAL
(cette poesie est librement traduite en Français par l'auteur Guido Pagliarino: "composée" à l'imitation de l'original)
Pâques est tardif cette année, le Carême se bat la poitrine encore, absorbé par la douleur et la prière. Mars aujourd'hui se souvient de mon passé, de quand ma première jeunesse s'envolait au deuxième âge avide, il se rappelle les soucis de l'âge d'or - ainsi on l'appelle -.
Pâques est tardif, aujourd'hui, dans mon cœur. Aù dehors de ma chambre, un vent nerveux est en train de semer encore les fruits aux marronier d'Inde plantés dans l'asphalte. Aujourd'hui la prière ne me connaît pas; mais en silence, une medaille de Sainte Marie Consolatrice implore pour moi notre Bien-Aimé. |